« Pippa, prépare tes affaires on part » du haut de mes quinze ans, je fixai ma mère. Elle avait une trace rouge sur la joue. Il avait recommencer. Quel connard. à chaque fois elle disait ça et ça recommençait. Ca en devenait presque lassant. Je me levai du lit ou j'étais si bien assise. Et pris un sac de sport qui trainait sur le parquet de la chambre. Prenant quelques affaires je déposai le sac devant la porte et me recouchai sur le lit. Prenant un livre qui trainait. Mes frères étaient soit au collège soit au lycée. ils ne voyaient jamais quand il lui faisait ça, enfin ils en avaient surtout rien à foutre. Même si c'était leur mère. avant ils ne s’engueulaient jamais, mes parents je veux dire. Mais depuis qu'il a commencé à boire c'est infernale. Ma mère revint quatre immenses valises qu'elle trainaient. « putain, pippa grouille j'ai dis qu'on partait ! », me hurla-t-elle en polonais, un peu énervé. Ah oui je vous l'avez pas dis j'suis d'origine polonaise. Enfin par ma mère quoi. Elle parle tout le temps polonais, donc j'le parle aussi un peu quoi. Je soupirai prenant un plus gros sac, et jetant les habits à l'intérieur. prenant les cadre, et tout mes bouquins. Bon j'étais dans la merde. La valise devait être plus lourde que moi. Tirant de toutes mes force la valise a travers la maison, j'arrivais devant le seuil de la porte. J'entendis des cris, et aperçus mon père lever la main sur ma mère. en idiote que j'étais je m'interposais. Et me pris la plus grosse gifle de toute ma vie. Je volais à terre. Il sentait l'alcool très fort s'en était écœurant. Ma mère m'aida à me relever, c'était l'une des dernières fois que je voyais mon père. C'était certain.

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« Vous savez que vous pouvez en parler avec moi.. » « Je vais bien si ma mère ne le croit pas je m'en fiche, j'étais malade je ne le suis plus. Voilà tout ce que j'ai gagné je ne peux plus faire ce que j'ai envie sans avoir à vous faire un rapport détailler de ce que j'ai manger, si j'ai vomis ou plutôt me suis fais vomir à tel et tel heure de la journée. Bordel ! Je vais mieux j'étais malade, je suis toujours malade, mais je ne me fais plus vomir. J'ai déjà avouer ma ''maladie'' n'en rajouter pas une couche docteur. », rétorquai je du haut de mes quinze ans. Quinze ans et déjà effronté enfin ça je le suis depuis que j'arrive à aligné trois mots dans une phrase. « Que faites vous ici alors, Mademoiselle Jones ? » Quinze ans et déjà contre le monde entier. « Des nouvelles de votre père ? » « C'est à cause de lui que je suis dans cette état toujours à me faire des remarques comme quoi j'étais trop grosse pas assez fine, pas assez jolie. J'ai voulus lui plaire et on sait comment ça c'est terminé.. », lançai je monotone à force de trop le répéter, a force de toujours dire la même chose. Ma mère m'avait mise dans un centre tout un été pour mes « troubles alimentaires » bien sûr j'avais réappris à manger, mais deux mois sans voir mes frères commençait largement à me peser. Dire que c'était mieux pour les patients de ne pas voir leur famille, On était en septembre, et c'était peut ên et je pourrais enfin rentrée chez moi.. « Vous pensez allez mieux ? », me demanda-t-il. « Peut être je vous dirais ça si jamais je rechuterais et que je ferais de nouveau un séjour chez vous.. », lui fis je en faisant malgré tout un petit sourire, « Préparez vos affaires votre famille vient vous chercher. » Je ne réagis pas sur le coup, j'étais vraiment trop heureuse pour dire quoi que ce soit. Je lui sautai dans les bras, assez impulsif comme réaction mais c'était tellement bien ! « Merci Docteur ! » Je me dépêchai de chercher mon sac qui était déjà fait, j'avais compté les jours sur un calendrier, j'avais enlevé toutes les photos accroché au dessus de mon lit. Je fermais la porte de cette chambre ou j'aurais passé plusieurs mois. J'aperçus enfin mes trois frères attendant dans la salle d'attente. Je leur sautai dans les bras, des larmes de joie montant me piquer les yeux. « Tu m'as tellement manquer Lukàs, Antoine, Victor ! » lui fis je toute heureuse. « Toi aussi ma petite sœur, tu verras ça ira mieux maintenant.. »

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« Salut je pense souvent à toi depuis que je t'ai rencontré la dernière fois... », me fit un type s'asseyant à côté de moi. « La chance, moi aussi je pense souvent à moi.. », lui fis je en finissant mon verre d'alcool, fêtant toute seule mon nouvelle emploi, professeur de musique s'il vous plait. J'en commandai un autre au barmaid qui me lança un regard compatissant. Il était drôle lui à me faire ces œillades ça allait pas faire disparaître le pot de colle. « tu danses avec moi.. », me fit il, je lâchais une petite grimace digne de ce nom. « Non, j'attends quelqu'un.. », lui rétorquai je en plus c'était la vérité. Le type pourtant ne bougea pas il se foutait de ma gueule, ou bien il avait un problème de communication, peut être de compréhension qui sait. Il me prit par le poignet, bon ok avec mes cinquante kilos tout mouillés je n'irai pas loin. Je finis par légèrement stressée con s'il n'arrivait pas toujours en retard je ne serais pas confronté à se genre de phénomène. Bref il me tira pour que je me lève ok... La j'avais peur et pas qu'un peu, quand soudain mon sauveur arriva, il passa son bras autour de ma taille d'un coup ça allait beaucoup mieux.. Le pot de colle le regarda avec des yeux ronds. « Je t'avais dis que j'attendais quelqu'un. », lui fis je en arquant un sourcil de façon à ce qu'il comprenne bien le message. « Ta copine tu ferais mieux de la tenir en laisse.. » Et ma main dans ta tronche ça allait être viiite fait. Quel con celui là ! Je soupirai, il ne fallait pas s'énerver surtout pas sauf que c'était trop tard, il lâcha ma taille, je m'interposai entre les deux. « Viens il n'en vaut pas la peine, on va faire un tour ailleurs.. », lui fis je en le regardant dans les yeux et posant une main sur son torse. On avait évité la catastrophe, ouf ! On finit par sortir de la boîte de nuit pour marcher jusqu'au parc où je pus enfin embrasser mon petit ami tranquillement ! On fêtait nos un an ce soir, bon ok l'idée de la boîte de nuit était la pire idée que je n'ai jamais eus mais, ça paraissait bien quand je l'avais imaginé. On aurait fait la fête et on aurait passé la nuit ensemble. Si ce n'est pas trognon, sauf qu'un cas social et venu foutre en l'air mon plan si parfait à la base et qui était si foireux à la fin.. Bref la n'était pas la question je finis par dire d'un air assez joyeux. « Bonne anniversaire mon cœur, ça fait une longue année que tu me supportes ! », en même temps c'était pas de la tarte, avec mes crises d'hystéries et tout le bordel pouah y'en avait du boulot ! Je sortis de ma poche un mignon petit étui qui contenait une gourmette avec les Initiales « S & B » gravé dessus. Ce qu'on pouvait être niais quand on été amoureux mais c'était mignon, puis on avait une excuse d'être gaga voilà quoi, vous avez compris ce que je voulais dire..
« Chéri, tu vas rire, mais je dois organisé un enterrement de vie de jeune fille, j'espère que ça va bien se passer.. »

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Toquant comme une folle furieuse contre la porte de l'appartement de mon ancien petit amie enfin si on pouvait l'appeler comme ça. J'avais trop bus et on fêtait l'anniversaire d'une amie qui allait se marier. Et j'ai été conne je sais, mais ce type est venue vers moi et j'ai cédé comme une idiote. Je ne pensais pas que ça allait avoir ces répercutions. Swann nous avait surpris, depuis plus de nouvelles. Je voulais savoir s'il était encore vivant.. « Ouvre moi je sais que tu es là. Ton courrier déborde et ton chien doit mourir de faim.. » lui fis je à travers la porte, je savais pertinemment qu'il m'entendait qu'il était surement être derrière la porte à râler car à force je le connaissais trop bien. Cinq ans c'est long, cinq ans on finit par connaître les personnes sur le bout des doigts. J'entendis le verrou de la porte, puis la tête de Swann apparaître. Il avait une sale tête, enfin en même temps je le comprenais. Bref j'avais l'air conne à le détailler comme ça du regard. « Qu'est ce que tu me veux, Pippa? » Aie, et bam dans ta gueule en même temps je l'avais chercher. « Ok, je vois qu'on a plus rien à se dire.. », il commença à refermer la porte, je la bloquai avec mon pied. « Tu sais très bien que je voulais te dire, tu ne réponds même plus à mes messages. J'ai dus te laisser une cinquantaine de messages sur ton répondeur. Je savais pas si tu les avais reçu, si tu les a écouter. J'ai fais une erreur, je sais? Tu m'en veux je le sais aussi. » lui fis je en le regardant dans les yeux pour déceler un quelconque sentiment. Mais rien son regard était vide, l'indifférence c'est ça qui était le pire dans cette histoire. Il aurait put me détester, m'engueuler faire tout ce qu'il voulait de moi. Sauf qu'il me regardais toujours avec cette air, je déteste ça. Il finit par me dire d'un ton assez plat.« Bon ben, on a plus rien à se dire je crois. » Un trou béant se formant dans ma poitrine, c'était ça ce qui faisait le plus mal. Il finit par fermer la porte, je ne bougea pas pendant une dizaine de secondes quand je sentis les larmes me monter aux yeux. Je fondis en larmes et finis par sortir de l'immeuble..

pseudo Ϟ (un)luckyslevin. prénom Ϟ marine. âge Ϟ 17 balais les gars ! présence Ϟ irrégulière. comment es-tu arrivé ici Ϟ loulou . ce que tu penses du forum Ϟ magnifique une dernière chose Ϟ nada