pseudo Ϟ mimi. prénom Ϟ Myriam. âge Ϟ 27 ans ½. présence Ϟ 4 jours sur 7. comment es-tu arrivé ici Ϟ Via une demande de partenariat. ce que tu penses du forum Ϟ Il a l'air super ! une dernière chose Ϟ Hâte de rp avec vous ^^ Bannière gif by tumblr (à venir, parce que pour le moment ma présentation ne veut pas se poster si je la laisse dedans :().

Côté caractère, j’ai pour habitude d'être quelqu'un de très franche. Quand j’ai quelque chose à dire, je le dis même si je peux m’attirer des ennuis par la suite. Honnête, je ne ferai jamais de coup bas à mes amis et c'est évidemment pour cette raison que j’ai beaucoup d’amis. Lorsque je ne vais pas bien, je garde tout pour moi et je fais comme si de rien était. Ainsi, aux yeux de certaines personnes, je peux passer pour une fille à qui tout réussi et qui est toujours joyeuse. Ce qui est loin d’être le cas évidemment. On dit de moi que je suis quelqu’un de drôle. Il ne se passe pas une journée sans que je ne fasse rire quelqu'un, parfois à mes dépends... En revanche, malgré toutes mes qualités, j’ai comme tout le monde quelques défauts. Têtue, quand j’ai quelque chose en tête, c'est comme ça et pas autrement ! Très rancunière, lorsque l’on me trahit je ne pardonne que très rarement. Impulsive, je réagis souvent au quart de tour ce qui me met parfois dans des situations hors du commun, surtout dans mon travail. Maladroite, il m’arrive parfois de blesser les autres sans le vouloir. Mais quand c'est le cas, je sais reconnaître mes torts et je m’excuse aussitôt. Peu m’importe ce que l'on pense de moi, je sais qui je suis, ce que je vaux et c’est le principal. Comme toutes jeunes femmes, il m’arrive parfois d’être jalouse quand on tourne autour de la personne que j’aime. Pour autant il faut savoir que je ne suis pas possessive. Physiquement, je mesure 1,70 m et pèse 55 kilos. J’ai de longs cheveux bruns et des yeux marrons verts. Tantôt frisés, tantôt lisses, je ne les attache que très rarement. Ma peau est plutôt claire, sans pour autant être livide. Et j’ai une petite cicatrice dans le bas ventre, dû à une opération de l’appendicite que j’ai subi lorsque j’avais dix ans. Toujours maquillée, je tiens à prendre soin de moi qu'importe mon humeur ou les endroits où je me trouve. Question tatouage, j’en ai sur le haut de la cuisse droite. Côté vernis, je change fréquemment de couleur de vernis, au gré de mes envies. Un coup je passe par le noir, un autre par le rouge. Côté vestimentaire, lorsque je ne suis pas en service, je porte souvent des jeans et des hauts assez sexy, assortis qui plus est. Ma tenue préférée ? Une robe de couleur rouge et des chaussures à talons que ma mère m’a offert à mon arrivée à Boston. Je suppose maintenant que vous voulez connaître mon histoire non ? Alors la voici :

« A contrario des autres enfants de mon âge, ma mère ne me lisait pas de contes de fées le soir avant de me coucher. Non, elle, elle préférait me raconter l'histoire de notre famille. Comment elle avait rencontré mon père un soir d'été dans le parc en bas de chez sa mère, comment elle avait apprit qu'elle m'attendait, enfin plein de chose qui concernait l'histoire familiale quoi. Pour elle, c'était ridicule de raconter des histoires de princesses alors que la vie ne ressemblait en rien à ce que celles-ci vivaient dans les contes de fées. Ben oui quoi, vous avez déjà lu un conte de fée ou la princesse a des parents divorcés ? Non bien évidemment. Deux princesses ne sont jamais éperdument tombées amoureuses l'une de l'autre non plus. Oh bien sûr ma grand mère paternelle a bien essayé de me faire aimer ce genre de livres, mais elle n'a jamais réussi, à son grand désespoir d'ailleurs. Jusqu'à l'âge de dix ans, tout allait bien dans ma famille, mon père ce riche avocat et ma mère cette grande styliste reconnue dans la grande ville de Paris grâce à son talent s'aimaient comme au premier jour. Seul ombre au tableau ? La secrétaire de mon père un peu trop présente au goût de ma mère. Tellement présente que le jour où j'ai fêté mes douze ans, mes parents m'ont annoncé qu'ils avaient décidé de divorcer et ma mère a quitter la Hongrie pour aller s'installer à Boston en Amérique, loin de mon père et de sa nouvelle compagne. Quand à moi.. Je suis restée en France, avec mon père, non pas par choix, mais surtout parce que ma mère voulait que je termine correctement mes études avant de venir la rejoindre à Boston. C'est ainsi, dans l'optique de faire plaisir à ma mère et surtout dans celle de réussir ma vie que je me suis donnée à fond dans mes études jusqu'à l'obtention de mon premier diplôme. Pour autant, ce n'est pas parce que je suis restée chez mon père et sa nouvelle petite amie que j'ai accepté la relation de ce dernier. Non évidemment je lui en ai voulu et je lui en veux encore aujourd'hui. D'ailleurs, je n'ai jamais adressé la parole à sa nouvelle femme et lui, moins je lui parle mieux c'est. Toujours en opposition avec lui, je l'étais encore plus quand j'ai rencontré Mikelos. Mon père ne le supportait pas et moi je voyais en lui le moyen de faire enrager mon paternel, tout en pouvant me confier à ce jeune homme de mon âge quand je le voulais. Tant et si bien, que malgré le désaccord de mon père, Mikelos et moi sommes dans un premier temps devenus meilleurs amis, puis par la suite amants avant d’entretenir une relation sérieuse tout les deux. Si tout allait bien entre Mikelos et moi durant les premiers mois de notre relation amoureuse, tout à basculé quand j'ai compris que ce dernier me trompait avec la petite amie de mon père. Ne voulant pas revivre le même cauchemar que ma mère avait vécu avec mon père, je demanda à Mikelos de choisir entre cette fille et moi. Mais voila que la réponse que j'attendais ne vint pas de suite, non, au lieu de ça, Mikelos se mit à me frapper violemment, en plein visage, tout en m'insultant de tout les noms. Puis une fois qu'il eut terminé de me battre, s'en suivit des cris et des menaces de sa part. D'après lui, je n'avais pas le droit de lui imposer de faire un choix, je devais faire ce que lui me disait de faire et fermer ma gu*ule, c'est tout. Comme si j'allais me laisser faire indéfiniment par un macho pareil. Mais alors que j'étais entrain de faire mes valises, quelques heures après, Mikelos vint vers moi en larme pour s'excuser. D'abord dubitative, puis effrayée, je fini par lui pardonner une première fois au bout de plusieurs minutes d'explications. J'ai bien dis une première fois, parce qu'évidemment vous vous doutez bien que celui-ci ne s'est pas arrêté ici. Non, il a de nouveau levé la main sur moi par la suite et il a même osé faire plus que ça d'ailleurs. Un soir, alors qu'après une énième tromperie de sa part, je refusa de me donner à lui, ce dernier vint carrément abuser de moi de force. Comment j'ai réussi à m'en sortir ? Grâce à l'aide d'une assistante sociale. Un soir, alors que mon ex était rentré chez nous en état d'ébriété, il m'a frappé comme à son habitude, pour aucunes raisons, pendant plusieurs longues minutes avant d'abuser de moi, sans aucune compassion. Il aura fallu que je fasse semblant d'être inconsciente pour qu'enfin il arrête et attendre durant un temps interminable, que ce dernier quitte la maison pour appeler les secours, tant bien que mal. Une fois à l'hôpital, j'ai rencontré cette assistante sociale à qui j'ai tout avoué du calvaire que j'ai vécu. Et ma mère, venue en urgence à Paris pour me voir, m’a alors sommé de la suivre à Boston pour refaire ma vie loin de cette ville et de cet homme. Mon père quand à lui, je n'en ai plus jamais entendu parler depuis que je me suis mise en couple avec Mikelos. Ainsi, une fois soignée, j'ai quitté Paris en compagnie de ma mère pour aller vivre à Boston avec elle. C'était il y a trois ans et depuis j'ai recommencé à vivre comme toutes les jeunes femmes de mon âge. J'ai un nouveau travail : Je suis devenue agent de police, en partie à cause de ce que j’ai vécu et surtout parce que je ne voulais pas que ce calvaire que j’avais connu, arrive à d’autres filles, moins forte que moi mentalement. Bon d'accord, ce n'est pas facile tous les jours, surtout quand vous êtes comme mon nouveau coéquipier, DJ, un mec qui pense qu'une femme n'a pas sa place dans la police. Comme si j'allais restée enfermé chez moi à faire la popote, ça ne va pas non. Enfin gageons qu'avec le temps, monsieur reconnaître que je suis une bonne policière et non pas un obstacle de plus dans nos missions. Côté cœur, je suis toujours célibataire et même si j'ai beaucoup souffert à cause de mon ex, même si j'ai peur de m'engager à nouveau dans une relation amoureuse sérieuse, je rêve encore un jour de trouver l'homme qui est fait pour moi. Il faut savoir aussi, qu’avec l'argent des dommages et intérêts que mon ex a dû payer pour tout ce qu'il m'a fait subir, je me suis payée ma propre villa. Évidemment ce dernier ne sait pas où j'habite et quand bien même il le saurait, il n'a plus le droit de m'approcher, ni même de mettre un pied à Boston... Et franchement, s’il décidait de venir de me voir ici, je saurai l’accueillir… Bien oui, maintenant je suis agent de police et que j'ai surmonté la peur que j'éprouvais en le voyant, il a peu de chance de réussir à m'avoir encore par la force. »